• Chapitre 2

    Je ne comprenais pas ce qui se passait, j'avais envie de pleurait. Je senti le regard du surveillant se posait sur moi. Je pris mon sac, me leva et quitta la salle. Une fois sortie, en direction de la cour, je pensait à Léon rien que de pensait à lui j'avais envie de pleurai. Je m’arrêta dans la cour et je senti des larmes couler sur mes joues, je m’effondra sur le sol et je commença à pleurait. Tout les souvenirs concernent mon frère me revint, je pensais aux fois où il était là avec moi, les fois où il me faisait rire, ou il m'énervait, je pensais à toutes ses fois où je ne lui est jamais dit à quel point je l'aimais, à quel point j'étais heureuse d'avoir un frère comme lui. J'étais en train de versé toutes les larmes de mon corps, toutes celles que je n'avais pas versé toutes les fois où ma famille me manquer, toutes les fois ou je me sentais seule. Je pensais que je n'arrêterai jamais de pleurait quand je senti une main se posé sur mon épaule. Je me retourna et vis que c'était le surveillant. Il s'agenouilla devant moi et me pris dans ces bras. Je ne comprenais pas trop pourquoi, mais j'étais tellement triste que je resta contre lui sans me posé de question. En temps normal j'aurai certainement réagit différemment mais là, dans ces bras, je me sentais bien, je me sentais en sécurité. Ce surveillant n'était pas comme les autres, il avait quelque chose de différent, il était gentil envers tout le monde, il n'avais, je pense, pas le même regard sur nous que les autres. Il avait toujours ce sourire, un sourire que je ne pourrais décrire car a mon avis il n'en existait aucun autre sur Terre. Si, il en avait exister un hormis le sien, celui de mon frère. Il y avais quelque chose chez lui qui me rappeler Léon. Au bout de quelques minutes, sans se détaché de moi, il prit la parole et commença à parler:

    -Je suis désoler, je n'aurai pas du posé la question à Lionel sachant ce qu'il allait me répondre.

    Le surveillant se détacha de moi, il se tenait toujours devant moi avec ces mains sur mes épaules. Il avait un regard compatissent et doux.

    -Je ne sais pas ce que prévois Lionel mais j'espère pour tout le monde qu'il le fera vite. Si tu as le moindre problème n'hésite pas à venir me voir, je m'appelle Naru. Dit-il avec sont petit sourire.

    Je n'avais pas bien compris ce qu'avais dit le surveillant enfin, Naru, et à se moment là je ne savais pas encore l'impacte qu'aurai ces mots. Il se leva et commença a marcher pour regagner la permanence. Je leva la tête et regarda en direction du portail, il y avais quelqu'un qui si tenait, cette personne me regarder, je n'arrivais pas à très bien distinguer les trais de sont visage car j'avais des larmes plein les yeux mais cette personne me rappeler quelqu'un, quelqu'un que je connaissais. J’essuyai les larmes qui se trouver sur mon visage et quand je vis clairement la personne que je regarder, je découvrit et compris avec stupeur que cette personne n'avais rien à faire là et qu'elle ne pouvait pas être là. Cette personne c'était Zac. Zac Cooper, il était le meilleur ami de Léon, ils étaient toujours ensemble, toujours, même le jour de l'accident. Zac était dans la voiture avec Léon quant ils ont percuter l'autre voiture, il est mort en même temps que Léon, le même jour, à la même heure. C'était impossible que se soit lui mais il lui ressembler tellement. Tellement que c'était impossible que se soit quelqu'un d'autre. Je me leva et commença à courir en direction du portail, l'individu ne bougeait pas, il rester là, immobile à me regarder. Il n'y avait plus que le portail entre nous, nous étions à quelques centimètre l'un de l'autre. Je pouvais très clairement voir cette personne, je pouvais assez bien la voir pour affirmer que c'était bien Zac. Mais il y avais quelque chose qui avait changer, je pensais que c'était sont regard, il avait un regard triste et froid alors que par le passé il souriait tout le temps. Qu'avait pu-t-il bien se passé pour que sont regard change à se point? Mais la vraie question était: comment se faisait-il qu'il soit ici, alors qu'il était sensé être mort.


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