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  • Chapitre 1

    -Tu as entendu la nouvelle? Un nouveau viens d'arriver.

    Depuis que j'étais arriver au collège se matin (et pourtant ça ne faisait que 10 minutes) je n'entendais que ça. A chaque fois qu'un nouveau arrivait c'était la même chose, toutes les filles ne parlaient que de lui et quelques jours plus tard elles l'oubliaient. Moi, ça ne me fessais rien. Les filles me trouvaient bizarre car je n'étais jamais sortie avec un garçon. Moi j' attendais le bon et, ce n'était pas de ma faute si je ne l'avais jamais rencontrai.

    A la récréation de dix heure, je rejoignais ma meilleure amie Mia. Cette fille était géniale. Elle comprenait tout avant même que je ne parle. Elle était toujours là pour moi. C'est certainement pour ça que je la considérais comme ma meilleure amie.

    -Tu as vu le nouveau? Me demanda-t-elle.

    -Tu es malade? Tu as mal quelque par? Dis-je étonner que ma meilleure amie me pose se genre de question.

    Elle rigola puis elle me répondit:

    -Tu devrai voir la tête que tu fais c'est trop drôle! Si je te demande ça c'est parce que ce garçon n'est pas comme les autres, je pense que celui-là il te plaira.

    -Comment-ça? Qu'est-ce-qui te fait dire ça?

    -Tu comprendra quand tu le verra, m'affirma-t-elle avec un grand sourire.

    La sonnerie retentit. Je me dirigea vers ma classe en me demandent ce qu'avais voulu dire Mia. Le professeur arriva et il nous emmenas en classe. Une fois assise je sortis mon cahier et ma trousse. Le professeur commença à nous expliquer la leçon. Tout en prennent des notes de la leçon qu'il expliquait j'essayais de m'imaginer le garçon dont m'avais parlé Mia. Je l'imaginais blond aux yeux bleu. En taille... Assez grand. Je pense qu'il est très gentil, un vrai prince.

    -Iori! Pouvez-vous répéter ce que je viens de dire? Dit-il l'air exaspéré.

    -Je euh... Non monsieur, désoler, je n'écoutais pas.

    -Puis-je savoir pourquoi vous n'écoutiez pas alors qu'un test est prévu dans une semaine. Mon cour est-il si ennuyant?

    Je restai muette, je ne savais pas quoi répondre. Je ne pouvais pas lui dire que je n'écoutais pas son cour car je m'imaginer un garçon idéal.

    -Vous avez perdu votre langue mademoiselle? Dans ce cas là j'espère pour vous que vous n'avez pas perdu votre main car je vous informes que vous êtes mises en retenu. Vous me recopierez mille fois: je ne dois pas rêvasser en cour, je dois écouter le professeur et quand ce dernier m'interroge je dois savoir répondre à sa question.

    -Bien, répondis-je.

     

    Je venais de finir ma punition. L'horloge indiquait 16h30, il me rester encore trente minutes et je m'ennuyais. Quelqu'un ouvrit la porte violemment je reconnu immédiatement l'un des surveillants. Il tient un garçon par le col. Celui-ci à l'air froid, il est assez grand, les cheveux noirs et les yeux brun très foncé. Il ne me disait rien, je ne l'avais jamais vu auparavant. Le surveillant était visiblement très énervé. Je me demandais qu'avais fait ce garçon pour énervé un surveillant à ce point et je n'allais pas attendre longtemps avant de connaître la réponse car le surveillant commença à expliquait à sont collègue qui il était et pourquoi il était là.

    -Je pense que tu l'as jamais vu? A mon avis tu vas le voir souvent! C'est le nouveau: Lionel Anderson, il est entrait en douce dans le bureau du principal, il fouillait dans les dossiers des élèves, il cherchait quelque chose mais il refuse de dire quoi.

    Cela fit rire le surveillant à qui il s'adressait, il regarda Lionel et dit:

    -Et ben pour ton premier jour tu te fait remarquer, et pas qu'un peut! Dit-il en rigolant. Va t’asseoir à côté d'Iori s'il te plaît, dit-il en montrent la place qui se trouvait à côté de moi, je viendrais te parler après.

    Le garçon marcha jusqu'à la table où je me trouvais, me lança un regard noir et s’assit. Il n'avait pas l'air méchant mais froid. Les minutes passait et j'avais l’impression qu'il me regarder, je n'osai pas le regarder, ni lui parler car il m’intimider. Le surveillant qui l'avait amener sorti de la salle et celui qui nous surveiller s'approcha. Il s'accroupit à côté de Lionel et commença à lui parlait:

    -Je peux savoir pourquoi tu as était dans le bureau du principal? Demanda-t-il d'une voix douce.

    Je senti Lionel lui lançais un regard noir puis voyant qu'il ne répondrait pas le surveillant reprit:

    -Tu n'a pas l'air assez bête pour y aller sans raison, si tu y a était et que tu fouillait dans les dossiers des élèves c'est que tu cherches quelque chose, ou quelqu'un, je me trompe?

    Lionel avait l'air d’hésiter à répondre puis il ouvrit la bouche et dit:

    -Oui.

    -Ah, ton amoureuse? Demanda-t-il avec un sourire.

    Je regarda Lionel, il baissa la tête, rougit, me regarda, rebaissa la tête et dit:

    -Ce n'est pas pour moi. C'est une promesse que j'ai fait à un ami.

    -Et, dit moi, sa valait la peine d'entrer dans le bureau, de fouiller les dossiers et d'être exclu dès ton premier jour de cour? Tu n'aurai pas pu demander?

    Lionel ne dit rien.

    -Tu l'as trouver au moins cette fille? Demande-t-il toujours avec sont sourire sur les lèvres.

    -Oui.

    -Donc j'avais raison c'est bien une fille! Dit-il avec un air satisfait.

    Lionel se redressa immédiatement:

    -Ce n'est pas ma petite amie! Cria-t-il.

    Le surveillant rigola puis dit:

    -Je n'est jamais prétendu ça. Dit, cet ami dont tu m'a parler il doit être cher pour que tu face ça pour lui non? C'est qui? Il est dans ce collège?

    -Oui, c'était mon meilleur ami. Dit-il d'un air assez ému.

    -Pourquoi dis-tu c'était? Tu tes fâché avec lui? Demanda-t-il d'air air interrogatif.

    -Il est mort.

    A ce moment là le surveillant ne dit rien. Il avait l'air triste pour ce garçon mais en même temps prêt à l'aider à retrouver le sourire.

    -Tu lui a promit quelque chose alors, c'est ça?

    -Il m'avait fait promettre que si il lui arrivait quelque chose je devrais protégeait sa sœur. J'ai passais du temps à la chercher mais j'ai fini par la trouver.

    Le surveillant avait l'air stupéfait, il avait l'air d'avoir envie de lui posait plein de question mais il se retint et n'en posa qu'une.

    -Comment s'appeler ton ami?

    Lionel me regarda avec un air triste et en même temps assez froid et déclara:

    -Léon Wilker.


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